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]]>Les petites et moyennes entreprises ont souvent du mal à tirer parti des réseaux sociaux pour promouvoir leur entreprise et développer leur clientèle.
En effet, selon le dernier baromètre France Num, commandé par le gouvernement en 2022, seulement 61% des PME sont pourvues de comptes digitaux.
Pire encore, seulement 38% ont une stratégie définie sur ces plateformes.
Pourtant, elles offrent de réelles opportunités pour les dirigeants de PME, peu importe leur secteur d’activité.
Ce constat est d’autant plus surprenant lorsque l’on connait les nombreux avantages offerts par les réseaux sociaux. Ils permettent notamment de toucher un public plus large, de fidéliser une communauté et d’interagir directement avec les clients.
Malgré ces avantages, de nombreux dirigeants hésitent encore à utiliser les réseaux sociaux, soit par manque de temps, de convictions ou de connaissances sur le sujet.
Il est donc important que les dirigeants prennent conscience des opportunités que leurs offrent les réseaux sociaux et qu’ils adoptent une stratégie pour les utiliser à bon escient.
Les réseaux sociaux peuvent être bénéfiques pour les PME qui souhaitent promouvoir leur produits, leurs services et développer leur activité.
Voici quelques-uns des principaux avantages que vous pouvez tirer de ces plateformes :
Il existe de nombreuses façons d’utiliser les réseaux sociaux pour augmenter sa clientèle. Voici quelques exemples de stratégies qui peuvent être efficaces :
Pour tirer pleinement parti des réseaux sociaux, il est important que les PME choisissent les plateformes qui conviennent le mieux à leur activité et à leur public cible. Voici les principales plateformes sociales et les stratégies qui leur conviennent :
En résumé, il est important pour les PME de choisir les plateformes sociales qui convient le mieux à leur activité et à leur public cible. En utilisant ces plateformes de manière stratégique, les PME peuvent tirer pleinement parti des réseaux sociaux pour leur croissance et leur succès. Il peut aussi être intéressant d’utiliser plusieurs réseaux pour cumuler différentes stratégies.
Enfin, certains réseaux sociaux peuvent être un outil précieux pour les PME qui souhaitent créer une marque employeur forte et attirer les meilleurs talents. Quelques exemples d’utilisation de ces plateformes pour ce faire remarquer des candidats :
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]]>L’article Dirigeant de PME : 5 conseils clés pour piloter votre entreprise de la création à la cession est apparu en premier sur Mon projet PME by Alba Advisory.
]]>Chaque jour, les femmes et les hommes à la tête de leur entreprise sont confrontés à des enjeux importants, tant économiques que technologiques et écologiques. Dans un monde qui va de plus en plus vite, on leur demande de prévoir l’imprévisible. Face à ce défi, il n’existe pas de solutions magiques mais quelques conseils de base peuvent contribuer à mieux gérer les différentes phases de la vie de l’entreprise, de sa création à sa cession éventuelle.
Le dirigeant de PME en tant qu’homme-orchestre joue un rôle central dans la bonne gestion de son entreprise. A ce titre, le développement de son activité passe obligatoirement par sa capacité à bien savoir s’entourer en recrutant des collaborateurs adaptés à ses besoins et à ses attentes.
Il est à souligner que l’importance d’un recrutement est souvent sous-estimée et que le temps consacré à la recherche d’un nouveau collaborateur est bien trop fréquemment limité à quelques heures. A titre de comparaison, rien à voir avec la gestion d’un projet qui peut monopoliser plusieurs mois. Et pourtant, les conséquences d’un recrutement raté peuvent être très préjudiciables pour une PME : perte de temps du dirigeant, désorganisation du reste de l’équipe, décrédibilisation face à ses clients, etc ..
Il faut donc considérer le recrutement d’un collaborateur comme un réel investissement. Au-delà du support potentiel d’un chasseur de tête, le dirigeant doit consacrer « suffisamment » de temps d’abord pour préparer précisément ses attentes, ensuite pour échanger avec le ou les personnes sélectionnées et enfin pour accompagner le nouveau collaborateur dans son intégration et dans son développement. Le manque de disponibilité dédiée à cet enjeu majeur est le principal écueil pour tout dirigeant de PME. Ce dernier doit éviter à tout prix de faire un choix par défaut ou dans la précipitation, les conséquences négatives peuvent être lourdes et longues à corriger.
En résumé, la réussite et la pérennité d’une PME reposent en tout premier lieu sur la qualité de ses équipes et donc de la capacité de son dirigeant à attirer des talents. Un challenge que ce dernier doit mettre en tête de ses priorités. Former et motiver ses collaborateurs est une seconde phase également primordiale pour permettre d’assurer un développement rapide et durable de son entreprise. Ces conseils élémentaires sont d’autant plus valables que le marché de l’emploi est tendu.
Bien évidemment, une multitude de causes peuvent pénaliser la trésorerie de l’entreprise : des surstocks, un carnet de commande insuffisant, des investissements importants, etc .. La situation de « free cash flow » doit donc être pilotée avec beaucoup d’attention, surtout en phase de démarrage avec peu de réserves de trésorerie et par la suite en phase de croissance rapide monopolisant une sortie accélérée de cash. Des solutions financières (emprunts, lignes de crédit, etc…) existent mais celles-ci sont à mettre en œuvre en fonction de la situation bilantielle de chaque entreprise.
Un point de vigilance qui concerne tous les dirigeants de PME est le suivi régulier de la balance client. De nombreuses défaillances sont liées à l’effet d’un non-paiement ou d’un retard significatif de l’un de leurs clients majeurs. Ce point est tout particulièrement à contrôler en période de forte inflation et d’incertitude, la situation de cash pouvant se dégrader très rapidement.
La réserve de cash est le moteur de toute croissance. Une bonne anticipation de ses ressources et de ses besoins financiers (dépenses courantes opérationnelles, investissements à court et moyen terme) est donc clé pour assurer le développement de l’activité.
Une PME qui n’innove pas peut se maintenir sur son marché mais prend un risque important de perdre de la valeur à terme. Bien évidemment, certains marchés de haute technologie nécessitent un investissement en innovation plus soutenu mais peu de secteurs d’activité sont exonérés de lancer une démarche continue d’innovation. Nouveaux produits, rénovation de gamme, nouveaux services, les pistes sont nombreuses.
Charge au dirigeant de PME d’insuffler à ses collaborateurs un esprit d’innovation et d’avoir recours à des experts externes pour des projets plus complexes. Le partenariat avec des start-up peut être aussi une piste, même pour une PME aux ressources limitées.
Toute PME ne doit pas oublier que la satisfaction client doit être au centre de sa stratégie de développement. L’innovation est dans tous les cas un levier de valorisation interne et externe.
Il est désormais incontournable pour toute entreprise, quelle que soit sa taille, de s’inscrire dans une politique durable de RSE. Renforcer l’attractivité pour des candidats externes , répondre aux fortes attentes de ses clients, valoriser l’entreprise au sein de son écosystème… Les raisons sont multiples.
Cette démarche doit se traduire par des actions concrètes en matière sociale, environnementale et sociétale. A titre d’exemple, de plus en plus d’entreprises se sont engagées dans un programme drastique de réduction de CO2 et un engagement d’être « Carbon neutre » entre 2030 et 2040. De nombreux organismes indépendants (Ecovadis , Afnor, Ecocert, etc.) sont désormais en place pour mesurer les performances des entreprises et éviter autant que possible les dérives passées d’un « greenwashing ».
Le dirigeant de PME doit être le garant de cette politique RSE. A ce titre, il doit mettre en œuvre les ressources humaines et les moyens financiers pour accélérer le déploiement de plans d’actions concrets. Cette démarche représente en général un surcoût à court terme mais un bénéfice concurrentiel à plus long terme. Le développement durable peut être aussi un moteur d’efficience globale.
Sauf dans de rares cas où la cession est prévue dès l’origine, la démarche de vente est un long cheminement pour les femmes ou les hommes à la tête d’une PME. Difficile en effet d’envisager de céder son entreprise après y avoir consacré un investissement personnel et financier de plusieurs années. Le support d’un conseil externe est fortement recommandable pour accompagner cet acte majeur de la vie de l’entreprise. Identifier les attentes du dirigeant, valoriser son entreprise, sélectionner les acheteurs potentiels, optimiser le prix de vente, piloter et clôturer la cession partielle ou totale, sont les principales missions de ces experts en cession. Les « fees » fixes et variables sont très largement amortis par les plus-values dégagées.
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]]>L’innovation n’est pas l’apanage des grands groupes ou des start-up technologiques. La PME, même dans le secteur le plus traditionnel, doit savoir innover. Aussi, assurer son avenir passe souvent par la capacité à sortir de sa zone de confort pour un dirigeant de PME. Simple à dire mais pas si facile à mettre en œuvre quand son quotidien est surchargé et son environnement est si incertain. Et pourtant, de nombreux exemples témoignent que le choix d’innover est le plus souvent payant pour la pérennité de l’entreprise et la valorisation patrimoniale de son dirigeant.
Trois grands principes peuvent être conseillés pour la PME qui souhaite lancer une démarche d’innovation :
Les dirigeants les plus audacieux respectent en général les deux premiers principes. Il est plus rare, en particulier dans le monde des PME, de suivre le troisième. Il est en effet difficile de lancer, voire même simplement de réfléchir à un projet de rénovation ou d’innovation, quand l’activité tourne à plein régime. Et pourtant, cela peut être le moment opportun de le faire. En effet, l’entreprise a besoin de ressources financières suffisantes pour démarrer une nouvelle ligne de produits ou un nouveau service. En cas d’échec, il est préférable que l’activité de base soit suffisamment profitable pour générer du cash pour amortir l’investissement à perte ou financer le coût de redéploiement d’un projet.
Un autre facteur clé d’innovation est la complémentarité entre les intervenants externes, qui apportent le plus souvent les concepts et la technologie, et les équipes internes qui conduisent le changement et sont les mieux à même d’adapter l’innovation au marché. Il n’existe pas de recette miracle mais bien préparer son projet, l’adapter progressivement et le tester régulièrement, est un processus qui réduit significativement le taux d’échec.
Quand on pense innovation, on pense trop fréquemment au lancement d’un nouveau produit mais les possibilités de révolutionner un marché s’avèrent souvent limitées et risquées. De plus, la PME peut rarement supporter à elle seule les coûts élevés de recherche et de développement d’une innovation de rupture. Il faut donc plutôt axer ses projets de développement sur des améliorations moins consommatrices en investissements. Concrètement, une amélioration sur la valeur d’usage peut représenter une réelle plus- value et une source de différentiation suffisante pour une PME. Quelques exemples : le bec verseur, la fermeture facile pour réutilisation, le bouchon solidaire de la bouteille, etc….
Dans tous les cas, qu’elle soit disruptive ou juste une rénovation, l’innovation est un relais de croissance indispensable pour pérenniser son entreprise. Il appartient au dirigeant de constamment s’interroger sur l’évolution de son marché à 5 ans, voire à 10 ans. A ce titre, un indicateur pertinent est de mesurer chaque année la part du chiffre d’affaires réalisée avec des produits lancés dans les trois dernières années. La valorisation d’une entreprise, grande ou petite, est donc étroitement liée à la capacité de faire évoluer son portefeuille produit ; le produit star ou « vache à lait » d’aujourd’hui doit servir à financer celui de demain.
Enfin, l’innovation produit doit de plus en plus intégrer une dimension environnementale, de la conception à l’utilisation finale. Ce critère est devenu non seulement une exigence mais aussi un réel atout quand la PME sait bien le mettre en œuvre.
Au-delà du produit, la PME peut innover en matière de services. Le service doit représenter un véritable bénéfice pour ses clients, que la PME opère dans le domaine du B to B ou B to C. Quelques exemples : la reprise gratuite, le 48 h chrono, un numéro vert consommateur… Ces services ont contribué aux succès des entreprises qui ont su les proposer en premier.
L’innovation service va donc bien au-delà d’une excellente qualité de service, il s’agit de se différencier de ses concurrents, de retenir des clients par une offre originale qui fidélise ou d’en attirer des nouveaux par un service innovant. Toutes les PME, qu’elles soient de production ou de service, peuvent adapter ou créer de nouvelles fonctionnalités.
Depuis quelques années, il est vrai que cette démarche repose de plus en plus sur le développement technologique, digital en particulier. Au-delà des ressources internes, le recours à des sources d’expertise ou de financement externe peut être donc indispensable pour rester dans la course.
Certains organismes publics (région, BPI, agence pour l’innovation, etc …) apportent des soutiens aux PME en matière d’innovation. Mais cela peut entrainer des délais longs et mobiliser des ressources importantes pour préparer et promouvoir les dossiers de demande de subventions ou d’aides financières. A noter que seulement 1% des PME ont déjà fait une demande de crédit impôt innovation !
Les banques possèdent également des capacités pour aider les PME à investir sur des nouveaux marchés. Dans ce cas, il faut mettre en place des lignes de crédit ou des prêts adaptés à la durée des investissements. Cette solution dépendra en grande partie de la capacité d’endettement de l’entreprise. De plus, un dossier avec un retour sur investissement trop incertain sera souvent refusé.
En conséquence, si l’innovation nécessite des ressources financières importantes ou pour des projets complexes, le recours à un conseiller est souvent à privilégier. La solution peut passer par un partenariat ou une ouverture de capital de l’entreprise. Le dirigeant de la PME doit dans ce cas bien veiller à conserver la maîtrise de l’opération et disposer d’une vision claire de ses intentions de partager la stratégie et le capital de son entreprise. L’anticipation et la collaboration sont des réels leviers en matière d’innovation.
En synthèse, la démarche d’innovation est une question d’état d’esprit et de bon « timing ». Il est à souligner que plus de 84 % des dirigeants d’entreprise estiment qu’être innovant est d’autant plus important que la période de crise est sévère. Bien sûr, il s’agit d’être sélectif et de disposer des ressources suffisantes au niveau humain et financier avant de démarrer un projet. Mais ne pas innover à temps peut hypothéquer significativement la compétitivité d’une entreprise et donc sa valeur.
L’intérêt du dirigeant de PME est par conséquent de veiller à rester à l’affût de toutes les innovations produit ou service qui permettront à son entreprise de rester attractive pour de potentiels futurs acheteurs. Trop de chefs d’entreprise ont tendance à l’oublier faute de temps et de moyens.
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